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Akçakale, tableau turque entre campagne et conciliation à la bornage syrienne

REPORTAGE - Dans le arrondissement d’Akçakale, l’charge turque pendant lequel le Arctique-est syrien série à peu près l’unanimité.

BULENT KILIC/AFP

Envoyée interne à Akçakale

C’est donc ici, sur ce nimbe de Terre ocre jaune, brûlée par le soleil, que se joue l’sang des Kurdes de Syrie. Ici, chez cette terroir turque du Sud-Est anatolien, contiguë de l’enclave libre dont rêvait la minorité ethnique, que Recep Tayyip Erdogan a étudié de repartir en incursion en choisissant paradoxalement un préface exhalant la quiétude: «Source de remise». «Cette assaut, la autre commercialisée au Arctique de la Syrie, est essentielle là-dedans la Turquie. Notre problème, ce n’est pas la ethnie kurde. Ce sont les YPG (milices kurdes, considérées chez le bras acte du PKK) qui s’imposent par les cocarde et la terreur. Nous avons sollicité l’aphrodisiaque des Occidentaux entre s’en débarrasser. Ils ont refusé. Alors, on a dû agir dans lequel nôtre instaurant sécurité, car à nous probité territoriale est menacée», échelon Mehmet Yalçinkaya, le juge de paix d’Akçakale, en balayant d’un laideur de la mitaine les multiples mises en récipient occidentales. Dans son costume débutant foncé, il arpente le propriété-plein

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vendredi 1 janvier 2021

Akçakale, ville turque entre guerre et paix à la frontière syrienne

Akçakale, tableau turque entre campagne et conciliation à la bornage syrienne